Le quartier Danton

Dans les années 50, l’Assistance publique (le plus important propriétaire de Draveil), envisage de céder un terrain, au lieu-dit Saint Rémy, à la commune de Draveil. La ville souhaite que soient construits des logements sociaux qui font défaut. C’est le Logement français (société anonyme de Paris) qui, après avoir acheté ce terrain, établit un projet de 260 logements, ainsi qu’un petit centre commercial. La disposition des bâtiments évite toute circulation de transit.

Pour en savoir plus, cliquez ici.

Ses rues

Le carrefour formé par le boulevard Henri Barbusse et les rues Eugène Delacroix et du Port aux Malades, longtemps appelé la Croix de Champrosay, marque le point de départ de la Grande Rue de Draveil. On y trouve l’Hôpital Dupuytren, hôpital de gériatrie dépendant de l’AP-HP (Assistance publique et Hôpitaux de Paris), ainsi qu’une succession de propriétés et maisons anciennes. Au 100, se trouve l’ancienne maison du docteur Rouffy. Et au 108, l’ancienne propriété de Paul Lafargue, avec son parc de près d’un hectare. Les propriétaires y recevaient, chaque dimanche pour des déjeuners, d’ardentes discussions politiques ou philosophiques. Lénine, en 1910, a rendu visite à Paul Lafargue dans cette maison. Elle est aujourd’hui le siège de l’association Les Amis de l’Homme.

Pour en savoir plus sur la maison de Paul Lafargue, cliquez ici.


Une succession d’allées et de rues font référence à des noms illustres tels que la rue Pierre Bonnard (peintre décorateur 1867-1947), la rue Georges Danton (héros révolutionnaire mort sur l’échafaud), qui permet d’évoquer la cérémonie que la commune de Draveil organisa le 30 décembre 1793 en l’honneur des Martyrs de la Liberté. L’allée du Coq au Champ, Floréal, Germinal, Etienne de La Boétie, Mansart, Messidor, Michel de Montaigne, Prairial et enfin l’allée des Tilleuls Louis XIV (allée d’honneur du château de Villiers). Ainsi que quelques places comme celles de Hove, qui porte le nom de la ville anglaise avec laquelle Draveil est jumelée depuis 1990. Mais aussi la place d’Oberkirch, qui porte le nom de la première ville jumelée à Draveil en 1971. Le carrefour de Paltinoasa, remémore le serment de jumelage - coopération du 2 avril 1995 entre Draveil et ce village roumain qui était dans un projet de destruction de 8000 villages par l’ancien président Ceaucescu.

La maison Paul Lafargue

Cette maison, entourée d'un parc de près d'un hectare, fut, de 1896 à 1911, la résidence de Paul Lafargue et de sa femme Laura, fille de Karl Marx. Lénine y séjournera en 1910. Le 26 novembre 1911, Paul Lafargue s’y suicide en compagnie de son épouse. En 1930, elle est acquise par l'association philanthropique Les Amis de l'homme, qui lui adjoint un corps de bâtiment surmonté d'un dôme. Sur les murs de l'édifice, des panneaux sculptés en bas-relief évoquent la doctrine de l'œuvre, de même que les statues du bassin situé dans le parc.

Pour en savoir plus sur la maison de Paul Lafargue, cliquez ici.

La maison Paul Lafargue

Cette maison, entourée d'un parc de près d'un hectare, fut, de 1896 à 1911, la résidence de Paul Lafargue et de sa femme Laura, fille de Karl Marx. Lénine y séjournera en 1910. Le 26 novembre 1911, Paul Lafargue s’y suicide en compagnie de son épouse. En 1930, elle est acquise par l'association philanthropique Les Amis de l'homme, qui lui adjoint un corps de bâtiment surmonté d'un dôme. Sur les murs de l'édifice, des panneaux sculptés en bas-relief évoquent la doctrine de l'œuvre, de même que les statues du bassin situé dans le parc.

Pour en savoir plus sur la maison de Paul Lafargue, cliquez ici.